Bleeding Love *

La journée était loin d'etre terminé pour Mac et moi bien au contraire. Dire que le matin meme quand je suis partis de chez moi pour me rendre au centre ville jamais je n'aurais imaginer revenir chez moi avec elle, et aussi heureux. C'était bien la première fois que je ressentais autant de bonnes choses en si peu de temps et surtout pour quelqu'un. Là j'étais enfin sur de se que je ressentais pour elle, plus rien ne me mettrais des batons dans les roues, n'importe qui pouvait essayer ça risquait d'etre encore plus difficile que ça ne l'était déjà.

Bref la belle brune et moi arrivèrent enfin dans mon quartier, courant toujours sous la pluie torrancielle. Nous étions tout deux vraiment trempé jusqu'aux os, c'était le cas de le dire. Voilà que je m'étais mis aussi à m'inquiéter pour Mac, tout nouveau ça aussi mais pas étonnant, car j'avais aussi réussis à faire sortir de ma bouche le mot "je t'aime".

Nous arrivions enfin devant la porte de la grande maison, je sortis rapidement les clées de celle-ci d'une des poches de mon jeans, un sourire jovial aux lèvres car tout ça était vraiment amusant et on avait surtout pas l'air très net aussi trempés. Une fois la porte ouverte je laisse Mac entrer la première puis entre à mon tour refermant rapidement la porte derrière moi. Il faisait déjà meilleur chez moi. Je pousse un grand soupire et retira aussitot mes chaussures ayant les doigts de pieds complètements gelés. Je regarde et sourit très malicieusement à Mac', mais alors qu'elle s'apprétait à dire quelque chose je l'a coupe aussitot mettant mon index devant ma bouche.

- Chuut attends...

Le silence, silence radio. Dick n'était pas là, un vrai miracle. Le bonheur pouvait donc continuer. Maintenant que j'y pensais, c'est vrai que Mac n'était pas venue souvent chez moi, meme presque jamais il me semble. Je reprit alors avec un doux sourire :

- Ca fais quand meme du bien d'etre dans un vrai abris.

Je passe alors une main dans mes cheveux trempés pour les ébouriffer un peu puis regarde Mac qui elle aussi était dans un belle état.

- Je crois qu'on est bien partit pour aller se changer... j'ai pas de vêtements de filles mais je te laisserai choisir se que tu veux dans mon armoire si tu veux ?

Invité

Le passage de l'humidité a la chaleur du logis fut bienvenue. Je soupirais de bien etre en entrant dans la demeure de Cassidy. L'orage dehors ne semblait pas pres a ce calmer, et cela m'inquiétais... Un peu. Mais rien n'aurais pu briser la puretée du moment présent. J'étais sur un petit nuage, et souriais a l'idée que je n'y étais pas seule...

Je découvris alors la maison de Cassidy pour la premiere fois. Car bien que je sache casiment depuis toujours ou elle se situait, je n'y avais jamais mis les pieds. Je regardais ces meubles design qui valent une fortunes. Ce carelage sintillant. La baie vitrée donnant sur la piscine, dont l'eau noir reflétait la fureur de l'orage. C'était... Beau. Non, Splendide. Je me tournais vers Cassidy m'apprétant a le remercier de m'avoir, enfin, invitée chez lui. Mais il me fit signe de me taire et je le regardais interogative un instant. Ne dis rien.

Alors je compris d'ou lui venait cet posture soudain relaxée. La maison était vide, signe que Dick, son frere, n'était pas la. J'en fus soulagée, car bien que j'aimais Cassidy de tout mon etre, son frere me sortait par les yeux. C'était étrange de noter autant de différences chez deux membres d'une famille ayant grandi ensemble. Mais je ne m'en plaignait pas. Loin de la. Si Cassidy avait été comme son frere jamais je ne l'aurais regardé et je serais passée a coté de choses innoubliable.

Il m'aimait. Ces mots résonnaient encore dans ma tete. Ecchos a un bonheur que je n'avais jusqu'ici qu'imaginé. Je ne me souciais pas de ce que cela allait etre entre nous. Ni de quoi demain sera fait. Je profiterais de chaque instant en sa présence, et compterais les minutes ou il ne sera pas a mon coté. Je le jure. Jusqu'a la fin des temps si il le faut.

Nous étions comme meme mieu dans un vrai abris. J'acquiescais simplement a sa remarque et lui souria tendrement. Je l'observais faire dans cette environnement si habituel pour lui, et étranger pour moi. Ce n'est que lorsqu'il me proposa de me préter des fringues que je refis attention a mon état pour le moins lamentable.

Je posais les yeux sur mon corps. Mes habits collaient a ma peau de facon inconfortable, dégoulinant d'eau. Une flaque m'entourait d'ailleurs. Je frissonais. Et remarqua alors que je gelais sur place.

- Je ne serais pas contre une douche chaude aussi... Si c'est possible.

Idiote ! Crois tu vraiment qu'il te laissera mourir de froid ? xD
Cassidy m'emena alors plus en avant dans la villa. Je le suivi de pres. C'était fou comme le silence n'était pas inconfortable entre nous. Meme plutot tranquilisant. Un bomme relaxant. Nous n'avions, apres tout, pas besoin de parler pour nous comprendre. Et je savais qu'il était heureux de ma présence ici chez lui.

Arrivés dans sa chambre je me sentis soudain génée, ma timiditée reprenant le dessus.

- Je me contenterais du plus simple que tu auras.

Du plus simple... VOir meme du plus léger ! Perverse !!

Dès que quelqu'un ouvrait la porte d'entrée et se trouvait à l'intérieure de la maison, le système de chauffage automatiquement s'allumait automatiquement. Il faisait vraiment meilleur à l'intérieure, cela me faisais beaucoup de bien mais à Mac aussi à tout point de vue. Je souris alors en l'a voyant observer les premières pièces de la grande maison, tout lui plaisait apparement et rien que ça me faisait très plaisir. Et puis rien que le fais de savoir que Dick n'était pas là, je me sentais vraiment bien, seul avec Mac en plus.

C'était vraiment bête en y repensant, que je n'ai encore jamais osé inviter Mac chez moi. Au jour d'aujourd'hui je le regrettais. L'orage grondait fort dehors, se qui n'avait rien de rassurant mais bon nous sommes à l'abris et Mac ne risque rien. Je venais donc de lui proposer l'idée qu'on aille se changer vue nos tenues pire que trempées. Mac était meme entouré d'une belle flaque d'eau. Je souris grandement en voyant ça tout en faisant les yeux doux à la jeune femme.

- Pas de problème, fais comme chez toi !

Je mis donc à passer devant elle pour monter les quelques marches d'escaliers qui menaient à un hall présentant plusieurs portes dont une qui menait à la salle de bain et l'autre à ma chambre. Je l'a fis entrer dans ma chambre puis remarqua qu'elle semblait d'un coup un peu plus timide qu'auparavant. Je rigole doucement m'approchant de mon armoire. A la réponse de Mac je garde mon sourire malicieux en bouche et dis à mon tour :

- Euhm ouai je vais voir ça...

C'est vrai que le language entre nous était plutot unique, on pouvait se comprendre par le regard ou se parler avec les yeux ou des signes meme, il nous arrivait meme de nous taquiner méchament mais sans pour autant que ce soit péjoratif. Et oui nous sommes bizarre et nous le valons bien ^^.

Enfin je finis par trouver des vêtements qui irait surement à Mac, je sortis un jeans qui lui irait surement bien ou au pire elle pouvait retrousser les bouts, et un survetement vert foncé que je mettais assez souvent qui serait aussi un peu grand pour elle mais bon je n'avais que ça. Je lui fais une petite moue en lui tendant les vêtements.

- J'ai trouvé ça... maintenant si ça te convient pas tu peux toujours revenir fouiller pour te trouver autre chose.

Je lui fais un doux sourire puis lui montre la salle de bain des yeux reprenant :

- La salle de bain est juste là.

Je commençais alors à retirer mes chaussettes complètements trempées -.-', heureusement qu'il y avait de la moquette au sol pour éviter d'avoir froid aux pieds ou de glisser. J'allais aussi me chercher de nouveau vêtements tout en retirant mon t-shirt aussi mouillé qu'une éponge.

Invité

CAssidy me tendis deux vetements. Un jean certainement trop petit pour lui et un pull vert qui m'était étrangement familier. Je l'ai pris et lui souris timidement.

- Non, ca ira tres bien.

Il me montra alors la salle de bain et je sortis de sa chambre, pas sans l'embrasser avant, prievement. Lorsque je le quittais il était en train de se dévétir, trempé a cause du torrent a l'exterieur. Moi meme j'étais assez mal dans mes habits, aussi je me depéchais de rejoindre la salle d'eau et de m'y enfermer.

Des notres arrivés le chauffage s'était mis en route. AUssi la température de la piece était fantastique pour mon état froidement inconfortable. Je quittais mon t-shirt qui me collait a la peau, mes chaussures et chaussettes qui ensérraient mon pied tel un étau, et mon jean qui avait laissé des marques sur mes jambes. Me délaissant de mes restes de frigues j'entrais enfin dans la cabine de douche.

L'eau brulante sur ma peau était un délice extreme. Au début je restais juste sous le jet, les yeux fermés, a ressentir les frémissement que ce contact me faisait. Tendrement, doucement, l'eau qui gelé mes membres les relaxaient. Mon souffle se fit ératique et j'ouvris enfin les yeux pour reprendre mes esprits.

Je pensais a lui. A son regard doux et ensorcelant. Au frémissement de mon coeur a son contact. A ses bondissement a accord de sa voix. A ce sentiment nouveau qui palpitait au creux de ma poitrine et chantait a l'unisson avec le sien. Cassidy...

Je pris un peu de savon au creu de ma main et commenca a me laver lassivement. Je ne lavais pas seulement se froid du au temps. Mais je me lavais de cette dépression qui m'emfermais depuis des mois. Je quittais ce trou noir dans lequel je mettais enfermée. Je remontais a la lumiere. J'oubliais les entreintes en dehors de celle de Cassidy. J'oubliais cette année de galere. De pleures. J'avancais dans la lumiere. Je le retrouvais enfin. Je l'aimais. Lui aussi. J'étais heureusE. Et alors ca arriva.

Cela devait etre en marche depuis que j'avais recroisé son regard dans la ruelle. Avancant doucement dans les confins de mon ame. Telle un serpent cherchant sa proie. Laissant les traces silencieuse d'une douleur cruelle. Frappant la ou ca faisait le plus mal. Dans le coeur et l'esprit. Dans une mémoire infidele. Dans ma mémoire. Je souffoquais. Me tenant au mur en face de moi j'essayais de ne pas défahir. Je devais me reprendre. Mais la douleur était profonde. J'avais oublié. J'avais trahit des amis proches.

Meg, Véronica...

Comment avais je pu etre aussi vivante dans les bras d'un... Le mot se coincais dans ma gorge. Et la terreur s'empara de moi. C'était lui qui avait... Non ! Je me repris. Me rincant a la hate je sortis en vitesse de la cabine. Refusant de penser a quoi que ce soit de terrible. A quoi que se soit qui pourrait nous détruire. Me détruire.

Mais la Culpabilité c'était pris de moi.

Je m'habillais alors avec les affaires de Cassidy. Et son odeur me chatouilla mes narines. Cassidy. Je me calmais, un peu. Mais je ne devais pas rester sans réagir trop longtemps. Je ne voulais pas lui poser de questions. Le pourquoi du comment n'avais aucun importance. Je n'allais pas cherchait a le confondre dans ses choix. Je voulais juste le sentir.

Sentir la douceur de ses levres contre les mienne. Ses caresses sur ma peau. Son souffle me chatouillant les cheveux. Je voulais le serrer dans mes bras et oublier tout ce qu'il y avait autour. Je voulais l'aimer. Maintenant. Ici.

J'entrais dans sa chambre et me sentis chanceler une seconde fois. Il n'était plus la. PArtis. Non. Il devait juste etre dans le coin. Sous la douche. APres tout il en avait eu autant besoin que moi. Mais mon souffle semblait ne pas vouloir se calmer. Les battements de mon coeur non plus. Je le cherchais. Un seul indice sur sa présence. Je l'appelais alors.

- Cassidy... ?

Lorsqu'il réaparut enfin, je relachais mon souffle. Et tournais vers lui un visage ravagé par mes larmes mal contenue. Et ma culpabilité trop présente...

Les vêtements que je venais de tendre à Mac lui convenaient très bien apparement, il était un peu gêné de lui passer ses vêtements mais bon il n'avait pas de soeur ^^ et Dick le tuerait si il lui prenait la moindre chaussette. Je regardais Mac partir tranquillement en direction de la salle de bain commençant à me déshabiller à mon tour. J'étais bien heureux de quitter ces vêtements aussi trempés que des éponges. Heureusement il y avait une deuxième douche dans cette grande maison.

Je me mis à descendre jusqu'au rez-chaussé pour aller dans une salle de bain, normalement réservé à celle de la chambre d'ami. J'entre également dans la cabine de douche et déguste avec le plus grand plaisir l'eau chaude. Je commençais aussi à plonger dans mes pensées, tout d'abord en repensant à toute cette journée, le fais d'avoir retrouver Mac, beaucoup de choses en peu de temps.

J'étais tellement heureux de l'avoir à nouveau auprès de moi, qu'elle me pardonne, meme si au fond bizarrement je n'étais pas vraiment convaincue. Le fais aussi de m'etre enfin rendue compte que je l'aimais, et elle aussi. Seulement de mauvaises pensées m'envahir également, je craignais que Véronica lui monte la tete contre moi, voir meme d'autres personnes. J'avais déjà tout perdu, et il ne me restait que Mac. Je ne voulais pas la perdre. Mais je devais réfléchir à tout ça encore.

A vrai dire je craignais encore que Mac est des doutes, ou se rende compte au bout d'un moment que c'est vraiment impardonnable se que j'ai fais. Bref, je ne devais pas penser à tout ça, et profiter de ce moment avec elle, ce moment unique, surement. Je finis par sortir de la douche, me rhabillant avec des vêtements secs. Quel bien fou.

Enfin je me dirige ensuite en direction de la cuisine décidant de servir deux verres de jus d'oranges pour nous deux. Quand j'entends la voix de Mac retentir du premier étage, sa voix semblait assez inquiète. Aussitot sans perdre de temps, je prend les deux verres en main et monte rapidement les escaliers jusqu'à l'étage. Une fois devant la porte de ma chambre, je dépose les deux verres sur une petite table et entre dans la chambre le visage inquiet.

Je regarde Mac', le visage couvert de larmes. Un noeud me serra férocement l'estomac ne pouvant sortir aucun mot sur le moment, déjà je détestais la voir ainsi et j'avais peur de la raison de ces larmes mais peut-etre que je ne devais pas. Enfin je finis par me rapprocher lentements d'elle, jusqu'à l'enlacer doucement tout en lui demandant d'une voix faible :

- Qu'est-se qu'il y a ?

Je me dessère doucement de façon à pouvoir plongé mon regard dans celui de la jeune femme tout en attendant une réponse de sa part...

Invité

Il me prit dans ses bras et alors toutes pensés quitta mon esprit. Il n'y avait, enfin, que nous. Je savais que c'était une impression furtive et que s'il quittait notre entreinte mes pensées et mes larmes reprendrons de plus belles. Mais je ne voulais pas. Je ne laisserai pas la culpabilité détruire mon bonheur. Pas maintenant.

Je pensais que peut etre se serait la dernière fois que j'aurais une telle oportunitée. Peut etre serait ce la derniere fois que je me sentirais aussi libre dans ses bras...

- Cassidy...

Ses yeux dans les miens, je pouvais voir tout l'inquiétude et l'amour qu'il ressentait a cette instant. Et une nouvelle vague de culpabilité m'anéanti. Je n'avais pas le droit de le faire souffrir. Pas après ce qu'il avait véccu. Pas après notre séparation aussi longue. Pas apres de si belles retrouvailles. Au lieu de répondre a son inquiétude, je posais ma bouche sur la sienne.

D'abord hésitant, mon baiser ne tarda pas a prendre la fougue dont j'avais besoin. Dont nous avions envie. Je passais mes bras deriere sa nuque et ressera mon entreinte sur lui. J'avais l'impression que mon corps brulait partout ou j'étais en contact avec lui. Mais une douleur immense me faisait souffir la ou je ne le sentais pas. Je décidais alors que je préférais me bruler de passion dans ses bras que de souffir de son manque.

Je quittais ses levres un instant pour reprendre mon souffle puis les réattaquaient avec ardeur. Sa bouche, ses joues, sa gorge. Je m'empara de son t-shirt et sans casser notre entreinte, l'amena vers le lit. Je me couchais sur celui ci et attira Cassidy sur moi. Enlevant d'abord son t-shirt j'entrepris d'embrasser toutes les parties visible de sa peau avant de revenir a son visage. Alors je m'arrétais.

Je le regardais avec des yeux empreints d'amour, de désir, de tendresse, d'une envie, une simple envie.

- Aime moi, Cassidy...

Je le reprenais alors contre moi et l'embrassais encore et toujours. Consummant mon désir de lui...

La gardant toujours dans mes bras, comme pour ne pas qu'elle s'envole ou qu'elle disparaisse, je plonge mon regard dans le siens exprimant tout par mon regard. J'avais beaucoup de mal à utiliser les mots mais mon regard ne trompais jamais et exprimait souvent tout à ma place. Rien qu'en l'a regardant, je devinais se qui l'inquiétait mais sans en etre vraiment sur bien sur. N'importe qui comprendrais son inquiètude d'ailleurs et elle avait ses raisons.

Son regard exprimait aussi tellement de choses, que je fus pris d'une drôle de sensation, une sensation très forte et presque incontrolable, une chose que je ne n'avais jamais vraiment ressentis avant. C'est elle qui prit tout d'abord possession de mes lèvres, je me mis à prolonger tout aussi pationnement le baiser comme si je ne voulais plus me séparer d'elle et me rapprocher plus justement.

Tout était si beau depuis leur retrouvaille, tout étais exactement comme dans mes rêves. Mac et moi. La sensation que j'avais avec elle en cet instant n'était meme pas comme avant, mais beaucoup plus forte et sincère. J'étais sur de moi, pour une fois, sur de se que je voulais et de se que je pensais. Je l'a voulais. Rien que de l'a sentir me procurais un bonheur fou, incomparable.

Elle m'attira jusqu'au lit et sans perdre l'étreinte que j'avais avec elle je l'a suivis sans aucune hésitation, comme complètement envouté et prit par le grand désir que j'avais d'elle. Une fois sur elle, je l'a laissais tout d'abord faire l'embrassant avec passion quand elle revint à mes lèvres. Puis à mon tour retirant son haut, je dévorais son cou puis chaques parcelles de peau caressant sa peau d'une douceure infinie.

Entendant ces dernières paroles, je remonte au niveau de ses lèvres l'embrassant tendrement et lui fais un sourire plein d'amour avant de lui déclarer à nouveau :

- Je t'aime...

Invité

HOrs jeu:

Toi aussi tu m'as manqué Razz

Tu es tout pardonné ^^ comme bien entendu...

Les yeux pétillants de malices et d'amour, je regardais Cassidy suite à sa nouvelle déclaration. Comment pouvais je en douter maintenant ? Je ne pouvais, ne voulais, plus faire machine arriere. Je voulais que cette instant dure éternellement. Je le voulais lui, juste lui. Je lui sourie, heureuse, comme depuis le début dans ses bras. Il était le seul a pouvoir me procurer un telle effet de bien etre absolue. J'en étais persuadé. Il sera a tout jamais le seul. C'était ce que je voulais, ce que j'esperais. Cassidy... Cassidy.

Ses doigts, sa bouche, son corps contre le mien était un contact doux et exquis que je ne voulais pas perdre. Je voulais le garder contre moi. Et l'aimais, me faire aimer en retour. Toute la nuit. Toute ma vie. Toute la notre. Ensemble. Mon cerveau n'arrivait pas à avoir une pensée cohérente, il bougeait sans cesse, ne s'arrétant pas sur une idée précise. Enfin, si. Il n'y avait qu'une envie. Une seule.

Avoir Cassidy, sous moi, sur moi, en moi...

Toute la nuit... Je le délestais de ses derniers vetements, et bientot nous n'étions plus que deux corps nues avident de ce retrouver dans une entreinte éternelle. L'amour. Mon coeur s'envolait vers l'extase, le bonheur le plus parfait. Un sentiment d'amour allait faire exploser ma poitrine. Alors Cassidy entra en moi. J'en oubliais de respirer. Je ne décrochais pas mon regard du sien. A jamais. Eternellement.

- Je t'aime... Je t'aime. Je t'aime Cassidy...

Je ne pouvais m'empécher de le dire encore et encore, inlassablement. Une douce musique qui accompagnait nos ébats. Amant, amour. Bonheur. J'avais le sourir au lèvre et la joie au coeur. L'amour dans les yeux et la peur dans l'ame...

Et voilà que tout se passait à présent comme dans un rêve, sauf que c'était bel et bien la réalitée. La déclaration que je venais de lui faire était sortis tout droit de mon coeur et j'en étais conscient comme jamais. Elle me rendait heureusement comme jamais je ne l'avais encore étais dans ma vie, et c'était la seule, l'unique. Je voulais lui montrer tout se que je ressentais pour elle, et en cet instant c'était mes sentiments et mon coeur qui parlait, qui me controlait.

Je n'arrivais plus non plus à réfléchir, le mot "je t'aime" résonnait dans ma tête. Nous étions à présent de plus en plus proche, nos corps aussi jusqu'à se que nous fassions qu'un. Jamais nous avions été aussi proche, enfin presque mais en fin de compte c'était comme une première fois. Je sentais mon coeur battre à une vitesse fulgurant comme si il allait sortir de ma poitrine, et le contact avec la peau de Mac était si doux et inlassable. Je l'a voulais.

J'étais à présent en elle et nous montions de plus en plus haut, mon regard noyé dans le siens avec une forte intensité et nos respirations qui se mélangeaient. Il n'y avait que de l'amour et de la tendresse dans mon regard comme j'en ai jamais eu. Je finis par m'effondrer doucement sur après un long moment de plaisir intense et incroyable, unique. Je rapprochais à nouveau mes lèvres des siennes. A l'entente de tout ses mots, je me sentais si bien, c'était ça le bien être ?

Je finis par reprendre doucement ma respiration, replongeant mon regard dans celui de Mac. La chaleur était bien là mais tellement agréable, une chaleur unique. Je finis par lui sourire aussi gardant mon visage près du siens puis dis comme si je ne le lui disais jamais assez :

- Je t'aime vraiment... tu comptes pour moi comme personne d'autre au monde...

Invité

Le summum du plaisir, l'extase extrême s'empara de moi. Je ne
pouvais plus penser. Ne pensais plus. Il n'y avait plus rien autour de
nous. Juste lui et moi dans cette entreinte passionné et
nouvelle. Je n'avais jamais ressetie pareil sensations. Ni dans ses
bras ni ailleurs. Je volais. Mon coeur allait explose s'il continuait a
battre ainsi. Je souriais. Je lui disait a qu'elle point je l'aimais.
Et je savais qu'il était heureux lui aussi.

Nos entreinere se prolongerent. Le plaisir ne voulait pas me quitter.
Il fini par prendre Cassidy aussi. Je me noyais dans la pureté
de ses yeux bleus que l'amour rendait flamboyants. Il s'alongea sur
moi, erinté et me dis qu'il m'aimait, j'avais les larmes aux
yeux. Ces mots seront graves a jamais dans ma mémoire. Je me
promis de ne jamais l'oublier. D'être toujours la, pour lui. Je
voulais lui dire qu'il pourra compter sur moi. Quand il voulait. Qu'il
lui suffisait de prononcer mon nom pour que j'apparaisse. Que je
l'aimerai toujours quoi qu'il arrive. Toujours...

Ma culpabilité était oubliée, au moins pour le
moment. Bien, ainsi rien ne pouvait perturber ce moment de pure extase.
Cassidy se dégagea et s'alongea près de moi. Je me
retournais vers lui, sur le côté, et me mis a caresser son
torse. Je soupirais de bien être. De bonheur encore et toujours.
Ma joue était posée sur son épaule et je me
laissais bercer par les battements de nos coeur, a l'unisson. Une si
douce musique. Je fermais les yeux. Je me rendis alors compte que
j'était épuisée. Trop de choses c'était
déroulées en très peu de temps.
J'avais l'impression d'être montée dans un manège a
grande vitesse et de ne pas avoir eu le temps de comprendre ce qui
m'arrivait. Mais je ne regrettais rien. Je remerciais même ma
mère d'avoir refusé Cassidy. Et il faudra aussi remercier
Dick pour son absence. Je rie doucement a cette pensée.
J'étais devenue redevable a Dick. On aura tous vu. Je rouvrais
les yeux et me perdi dans la contemplation de mon apollon.

Souriant aux anges, nous nous regardions, heureux comme jamais. Les
yeux pétillants, et la peau rougie de baisers. Magnifique
était le mot juste. J'en oubliais presque de respirer. Mais mon
expression changea soudain pour devenir soucieuse. Lorsque
j'étais revenue dans la chambre j'avais me visage empreint de
larmes. Me demandera-t-il des explications la dessus ? Je
n'espérais pas. Je ne voulais pas y repenser. Mais une autre
question s'insinua dans mon esprit et je ne pu la retenir, elle
franchis mes levres.

- Regrettes-tu ?

A peine avais je prononcé les mots qu'ils me semblaient
déjà stupides et sans aucun intérêt digne de
ce nom. Pourtant il refertaient pas mal min état d'esprit.
J'avais rêve d'une telle alchimie avec un garcon. Le fait que se
soit avec Cassidy rajoutait au romantisme du moment. Mais j'etais
effrayé, comme toutes les personne qui avait quelque chose a
perdre. Pourquoi fallait-il que les choses soit si compliques ? Je
priais pour que l'identité de Cassidy reste secrète. Je
priais pour que Veronica ne dise rien a personne. Je priais pour
pouvoir l'avoir a moi, rien qu'a moi. Je priais pour que notre amour
reste a jamais ainsi. Empreint de désir, de passion et de
confiance. Car il y en avait, de la confiance.

Ceci m'amena a d'autre sujet de réflexion. L'université.

- Demain on devra aller en cours...

J'avais dit cela d'un ton lasse et plein de peine, d'ennui non veccu
mais qui seront bien présent. Ma réplique eut l'effet de
d'étendre l'atmosphère. J'arborais un air boudeur devant
cette pensée. Je ne voulais pas y aller. Mais il le fallait
bien. De plus il faudrait que je passe chez moi avant d'y aller. Ce qui
coulât dire deux choses: soit ce lever tôt, soit rentrer
chez moi maintenant... Je préférais oublier tout suite la
deuxième option pour ne me concentrer que sur la première.

- Il faudra que je passe chez moi avant d'y aller... Tu commence a quel heure demain ?

Le temps semblait s'être arreté durant plusieurs bonne minutes laissant place à un moment tout simplement exptionnel, unique et magique. Un moment qui était sur de rester ancré dans ma mémoire pour toujours, c'était comme une première fois. Et tout était si beau. J'étais là avec elle et je ne voulais plus l'a quitter meme si je savais déjà qu'il le faudrait bien un jour. Toute mes pensées, plus particulièrement les mauvaises, étaient loin très loin. Il n'y avait qu'elle qui comptait.

Tout se que dégageait Mac était vraiment fort, tout se que je dégageais moi aussi en signe de réponse. On se regardait, intensement, et cela suffisait déjà pour nous lier à un très haut point. Nos plaisirs étaient montés très haut, et j'eu beaucoup de difficultés à redescendre seulement il le fallait bien aussi. Mon coeur battait vite, et je sentais toujours la douce chaleure que dégageait le corps de Mac, une chaleure apaisante.

J'étais à présent allongé à coté d'elle, un sourire au lèvre tout en fixant le plafond les yeux pleins d'étoiles. Nous étions comme dans une bulle et il n'y avait plus rien autour de nous. Moi aussi surement pour la première fois de vie je remerciais Dick. Meme si évidement, il ne risquait pas d'etre un jour informé de se qu'il venait de se passer. C'est là que Mac me demanda si je le regrettais. Aussitot je tournais mon regard sur elle, l'a contemplant, aussi belle qu'elle était.

- Bien sur que non !

Un sourire complice occupa mes lèvres continuant de regarder Mac, c'est vrai que c'était une question plutot idiote mais j'en aurais fais de meme auparavant. Dire que je ne savais pas qu'un jour ce genre de choses pouvait m'arriver. Mais si, c'était bel et bien arriver. Je ne voulais pas la perdre.

Enfin le sujet de l'Universitée arriva. Mac déclara que demain il faudra aller en cours. C'est vrai qu'aujourd'hui on avait tout deux séché les cours, pas bien ! Une petite moue se dessina sur mon visage tandis que je lui répondis avec peu de motivation :

- Mouai... c'est vrai, youpi...

Cela voulait dire aussi que ma chère et tendre devait pas trop tarder à y aller et que Dick non plus n'allait pas tarder, quelle poisse. Je finis par soupirer tout en me redressant légèrement tout en tentant de me souvenir à quelle heure je commençais demain.

- Euhm... dans les environs de 10h je crois !

Je me tourne légèrement vers Mac un sourire malicieux et un peu inquiet en bouche reprenant aussitot :

- Tu diras quoi à ta mère ?

Invité

Je soupirais après la question de Cassidy. Ma mère... Il est vrai que je ne pouvais décemment pas la mettre au courant de ce qui venait de ce passer. Du moins pas tout de suite... Je réfléchis un certain temps, toujours collée contre Cassidy.

Comment expliquer son absence à sa mère alors que la derniere chose qu'elle sut de vous était que vous vous promeniait en compagnie d'un assassin ?

Je frémis. Et otait immédiatemment ce mot de ma tête, refusant d'affronter une vérité qui me compterai bien trop chère a mon gout. Le fait est que je ne voulais plus jouer. Je voulais Cassidy a mes cotés, quitte a oublier tout le reste. Le lendemain nous retournerions à l'Université. Je me demandais qui était au courant de ce qu'il avait fait ? Peu de gens je suppose. Véronica, Dick, moi... Et qui d'autre ? Je ne savais pas. Cela me terrifiais. Si les gens l'apprenaient, alors ils n'hésiteront pas à ce dresser contre lui. Pas que cela me pose un véritable problème, mais je craignais une chose. Qu'il me mette a l'écart. QU'il décide qu'il serait mieu pour moi de ne plus l'approcher... Est ce que cela pourrait arriver ?

J'avoue ne pas en etre tout a fait sure. Mais j'avais aussi l'impression de découvrire de nouvelle facette de la personnalité de mon doux Cassidy, et je ne savais pas a quoi m'attendre. Si il avait besoin de moi, je serai la de tout les facons. Comment en étais je arrivé a de telle pensés au fait ? Je savais que ce n'était la le sujet de notre conversation mais j'avoue que un trou de mémoire énorme m'avait envahit... Oups !

Euh... Oh ! Mais oui bien sur... Ma mère...

- J'en sais rien... Je ne pense pas lui donner la moindre informations. Elle sera plus omnibulé par mon mutisme si je ne lui dit rien durant quelques jours et elle en oubliera cette soirée...

Je remarquais alors que je ne savais toujours pas si il voulait bien que je reste cette nuit ? J'en avais terriblement envie, mais peut etre mieu ne valait-il pas. Dick risquait de rentrer d'une minute à l'autre et je devinais aisement que Cassidy ne voulait pas qu'il nous voit. Bizzarement cette pensée me fit du mal. Pas que je ne partageais pas son point de vue, mais je ne voulais pas que cette soirée reste la seule et unique. Je ne voulais pas que nous oubliions notre entreine pour le moins merveilleuse passionée et unique, et que nous nous comportions comme deux amis. Ou pire comme deux étrangers. Et voila... Le trouble m'envahit encore et ce manque de réponses, de certitude m'énerva au plus haut point.

Tout a coup je pensais que le lendemain je commencais moi meme dans l'apres midi. Avec l'un des premiers cours d'informatique... J'avais pris l'option avancé mais je tenais a participer au premier cour afin de revoir le materiel mis a disposition. Les antis virus utilisaient par l'Université étaient des plus efficace. Merci les Kanes !! (=D)

- Cassidy... Tu préfere que je rentre maintenant ? On se retrouvera demain pour le cours d'informatique =P.

J'avais voulu dire cela d'une voix enjouée. Mais ce n'était pas si bien réussi et ma voix frémit légerement...

Mac semblait etre en pleine réflexion à propos de sa mère tandis que moi je me mis à réfléchir au sujet de Dick. Et oui, parce que ce charmant frère avait tendance à ne jamais prévenir de se qu'il faisait, donc en clair soit je devais à contre coeur laisser Mac partir pour etre sur que Dick n'en dira rien et ne verrais rien soit je l'a laisse partir alors que si ça se trouve Dick ne rentrera meme pas cette nuit là, soit je l'a laisse pas partir comme j'aimerais mais Dick risque de provoquer un cataclisme. J'avais l'embarra du choix on pouvait le dire...

Je préférais autant attendre une proposition de Mac ou alors une simple réponse de sa part meme si au fond de moi, ma réponse était tout simplement de rester le plus longtemps possible à ses cotés. Rien qu'en l'entendant dire qu'on se retrouverait demain en cours, elle me manquait déjà terriblement. Mac me fit sortir de mes pensées en me déclarant qu'elle n'allait rien dire à se mère pour le moment, se qui me rassura tout de meme. Pas pour moi, mais pour elle, je ne voulais pas qu'elle se fasse gronder ni meme que sa mère commence à l'éloigner de moi.

- Oui... je pense que c'est une bonne idée. Tu comprends, j'ai vraiment pas envie que tu te fasses "tuer" à cause de moi où qu'elle cherche à nous... séparer...

Ma voix se brisa légèrement sur la fin. Un mot assez difficile à prononcer il fallait l'avouer, et encore plus difficile à imaginer. M'enfin il fallait que j'arrête ! Je restais toujours aussi proche de ma chère et tendre, contemplan ses magnifiques yeux en amandes. Elle me demanda alors si je voulais qu'elle rentre maintenant pour qu'on se retrouve demain en cours d'informatique. J'avais bien sentis ce frémissement dans sa voix. Je me mordis la lèvre inférieure puis me rapprocha doucement d'elle pour lui répondre :

- Franchement ? J'aimerai vraiment que tu restes, seulement... y'a ta mère et... mon frère, je sais meme pas si il rentre ou non ce bougre !

Invité

La crainte de Cassidy au sujet de la réaction de ma mère était fondée. Je l'avoue. Mais elle ne réussirait à nous séparer. Je m'en faisais le serment et refusais de jouer le rôle de la fille fille a sa maman... C'était trop pour moi. Et pas vraiment mon genre soit dit en passant. Je soupirais et me redressa. Assise, le drap remonté sur ma poitrine, je scrutais la pénombre à la recherche de mes affaires. Cassidy parla encore derriere moi. Sa voix était cassée. Je savais que la mienne le serait aussi, au vu de la boule qui se formait encore dans ma gorge. Mais je décidais de ne pas me laisser envahir.

Je soupirais et me retourna vers mon Apollon. Je me perdis dans sa contemplation. Son regard me faisait oublier jusqu'a mon prénom. C'était indéniable, j'étais folle amoureuse de cet homme. C'était merveilleux, fabuleux, sensationel. Mais je devais partir...

- Ca ira... Je pense qu'a cette heure la ma mère doit dormir. Et je devrais pouvoir éviter toutes questions jusqu'a ce qu'elle oublie.

Ou que je trouve le moyen de lui dire.

J'étais parée. Si Cassidy ne faisait rien, j'étais prete a partir et a le revoir le lendemain seulement. Il me manquait déjà. Mon Dieu... Comment allais je faire pour m'endormir dans les draps trop chaud de ma chambre trop petite, seule. Alors que j'aurais pu passer la nuit dans ses bras a lui. Me réveiller dans ses bras... STOP ! Arrete de te faire du mal ma belle. Ce n'est pas vraiment la solution a ton probleme d'affection maladive. J'étais devenue une droguée... à l'amour de Cassidy ! SUper ! ><

J'avais aussi très compris qu'elle était belle et bien devenue ma drogue, j'étais déjà triste rien qu'à l'idée qu'elle parte mais bon il valait mieux sinon les conséquences risquaient d'etre encore plus grave si sa mère commençait à s'inquiéter. Bref, je contemplais également Mac d'un oeil malicieux et un peu triste mais je me retins de lui faire les yeux de cocker ^^. Je me mis à regarder l'heure ensuite, le temps avait bien filé depuis tout à l'heure, je fis tout aussi surpris.

J'enfila également une petite tenue de façon à pouvoir l'a raccompagner jusqu'à la porte d'entrée, et oui autant rester quelques secondes de plus avec elle. Je me mis debout face à elle puis lui vola un petit baiser avant de me diriger vers la porte de ma chambre commençant à l'a raccompagner. Je ne put m'empecher d'avoir une petite moue sur le visage en l'a regardant.

- Fais attention de ne pas réveiller ta mère...

Je commence à descendre les escaliers en sa compagnie jusqu'à enfin attérire devant la porte d'entrée principale. Je me mis à pousser un petit soupire et reprit :

- Vivement demain...

Invité

Nous nous levâmes alors a contre coeur. Habillée, j'avais récupéré toutes mes affaires et repartis alors jusqu'a l'étage inferieur. Je me retournais une derniere fois vers Cassidy et lui souris tendrement a l'écoute de sa deception. Mais il le fallait. Pour le moment du moins. J'avais bonne espoir de négocier avec ma mere pour devenir indépende sur le point de vue financier et ainsi avoir mon propre "chez moi". Une idée qui, aujourd'hui, prenez tout son sens. Nous n'aurions plus a nous cacher. Enfin...

Pour le moment je me mis sur la pointe de pied et l'embrassa encore. Je ne me lasserai jamais de la tendresse de ses entreintes et de la douceurs de ses levres sur les miennes. Si je ne le quittais pas maintenant je n'aurais jamais la force de la faire. Alors je quittais sa bouche. Un sourire flottait sur mes levres.

- Ouais... Vivement demain...

J'ouvris alors la porte et partie. Dejà il me manquait, et mon coeur palpitait a l'idée de le revoir dans quelques heures seulement...

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